GRAINETERIE ROUX, CARPENTRAS

Zone de Chargement/Déchargement

Etuve / Germinateur

Ligne de nettoyage du sainfoin

Avec ses poulies en bois et ses courroies en cuir, elle est l'une des plus anciennes machines de la graineterie, présente dès les années 1920. La ligne se répartit sur les trois niveaux du bâtiment en traversant les planchers. Son alimentation se fait par un élévateur à godets qui déverse les graines depuis une trémie située au rez-de-chaussée. Elle se caractérise par son cribleur-diviseur.

Silos d’évacuation des rebuts et poussières des machines situées à l’étage du dessus

Ligne de nettoyage du sainfoin

Cette machine est la dernière partie de la ligne verticale de nettoyage du sainfoin, qui traverse les trois niveaux du bâtiment.

Le double ventaïre

C'est l'une des plus anciennes machines de la graineterie créée sur place à l'aide de deux tarares superposés : les graines à nettoyer passent successivement dans les deux machines. Des palettes métalliques en rotation, situées à l'intérieur du corps de chacun des tarares, créent un courant d'air. Les déchets légers (paille, herbe, poussières, enveloppes de graines) sont entraînés vers l'extérieur. Pour parfaire le nettoyage, des cribles de métal sont placés sur un système de vibreur : les corps les plus lourds (pierre, motte de terre, ferraille) sont ainsi écartés.

Poste électrique

Cette pièce accueille le générateur électrique qui fait fonctionner la grande machine appelée le moulin.

Conduites d'ensachage

Les graines traitées dans les étages au dessus descendaient au rez-de-chaussée par ces conduites, faites de simples tuyaux de gouttière bricolés et tombaient dans les sacs en toile de jute placés à leur sortie.

Compartiment de stockage de la mélangeuse

La mélangeuse a été utilisée jusque dans les années 1980. Elle traitait les rebuts issus de la ligne de décortication (le son), en vue de l'alimentation animale. Elle traverse le plancher et se termine au rez-de-chaussée par un ensacheur-peseur automatique. Son remplissage se faisait à l’étage au dessus par l'intermédiaire d'un élévateur à godets.

Le batteur anglais (partie haute en métal)

À l'intérieur, des rails métalliques fixés sur un arbre rotatif captent les graines et les projete contre les parois. Les corps étrangers (terre, petites pierres, coquilles d'escargot, ...) sont brisés ; les amas sont désagrégés. Cette opération permet aussi la destruction du germe de la graine. Le batteur ne trie pas : le produit semi-fini, en mélange avec les déchets, est évacué vers la bluterie (partie basse en bois) située juste au-dessous de lui.

Monte-charge électrique

Après la pesée, les sacs de graines étaient acheminés au dernier étage de la graineterie par ce monte-charge qui traverse les trois niveaux du bâtiment. Il est venu remplacer un monte-charge manuel plus ancien, dont on aperçoit encore l'orifice dans le plafond. [Voir l'arrivée, niveau 3](https://my.matterport.com/show/?play=1&sr=2.67,1.49&ss=113&m=ZZJdKc2xJL1)

Partie haute du compartiment de stockage de la mélangeuse

Il traverse les trois niveaux du bâtiment.

Ligne verticale de tri du sainfoin

Partie médiane de la ligne verticale de tri du sainfoin qui se répartit sur les trois niveaux du bâtiment.

Arrivée du monte-charge électrique

[Vers le départ, au niveau 1](https://my.matterport.com/show/?play=1&sr=2.5,1.21&ss=283&m=ZZJdKc2xJL1)

Mélangeuse verticale à vis d'Archimède

Elle est équipée d'un ensacheur-doseur et a une capacité de 7 tonnes. La vis centrale d'Archimède en rotation permet le mélange des graines ou des farines qui ont été introduites par une trappe située dans la partie haute de la mélangeuse. En bas, l'ensacheur-peseur est un dispositif automatique qui commande le remplissage des sacs et les dénombre. Cette machine a été utilisée pendant la Seconde guerre mondiale pour fabriquer des pois-cassés.

Trieur alvéolaire miniature

Le trieur alvéolaire miniature a le même fonctionnement que les trieurs alvéolaires présents dans la graineterie. Il est de forme cylindrique avec un axe de rotation horizontal. Il est utilisé pour trier de petites graines comme le thym. Un moteur électrique permet la rotation du trieur. Les graines à trier sont introduites à l'intérieur ; les plus petites se logent dans les alvéoles et sont récupérées dans une goulotte en métal ; elles sont prêtes à être contrôlées. Les autres graines restent à l'intérieur.

La collection de tamis

Avec 53 types de maillages différents, du plus grossier au plus fin, ils sont conçus pour traiter toutes sortes de graines selon leur calibre et leur forme. Ils sont numérotés pour faciliter leur choix.

Classeur de graines, dit « l'escargot » ou « le toboggan »

Les graines en vrac sont déversées dans une trémie. Elles tombent sur une descente métallique en spirale. Suivant leur forme, leur poids, leur volume, les graines prennent une vitesse et une position différentes : elles se classent ainsi par la force centrifuge en trois catégories : petites, moyennes et grosses. Chacune est évacuée par un tuyau vers l'ensachage.Le classeur à graines a été acquis durant la première moitié du 20e siècle. D'abord installé dans l'entrepôt annexe, il a été mis en place dans la graineterie dans les années 1980. Une modification y a été apportée : une petite vis sans fin, actionnée par un moteur électrique à la sortie de la trémie d'alimentation permet d'éviter les bourrages et une alimentation en continu de la machine. [Voir le départ, niveau 3](https://my.matterport.com/show/?play=1&sr=-2.72,.28&ss=70&m=ZZJdKc2xJL1) [Voir l'arrivée, niveau 1](https://my.matterport.com/show/?play=1&sr=3.01,-.32&ss=386&m=ZZJdKc2xJL1)

"La grande machine" ou "le moulin"

C'est une ligne de décortication :  Elle a été installée autour de 1920. Selon la tradition orale, la mise en place des premiers éléments (structure en bois, meules, poulies en bois, reliées par des courroies en cuir) aurait été effectuée par des artisans italiens du fait de leur maîtrise des techniques de décortication. Cette ligne a traité des graines fourragères puis du petit épeautre.

La mélangeuse-polisseuse de psyllium

On raconte que le fabricant de cette machine serait un artisan de Carpentras, qui aurait utilisé un axe de transmission d'automobile pour actionner la vis d'Archimède permettant de mélanger 200 kg de graines avec un peu d'eau et de talc. La pâte obtenue provoquait le polissage des graines, qui étaient ensuite lavées. Ce polissage par adjonction de talc faisait partie des « secrets de fabrication » de la graineterie qui lui donna un atout très intéressant pour leur commercialisation. L'activité de l'usine autour de la graine de psyllium a connu un essor important : l'intérêt pour les propriétés médicinales de cette graine a en effet induit une mise en culture développée dans la région, notamment sur la commune du Thor, et une activité commerciale avec les industries pharmaceutiques françaises et étrangères. Puis le pysllium ne correspondant plus aux besoins de cette industrie, les tonnages ont baissé progressivement et la ligne a été arrêtée au milieu des années 1990.

Ligne de tri du psyllium

Cette machine est la dernière partie de la ligne verticale de tri du psyllium, qui traverse les trois niveaux du bâtiment. En effet, plusieurs machines de la graineterie fonctionnent sur ce principe d’enchaînement de différentes étapes de tri, qui débute à l’étage le plus haut pour s’achever au rez-de-chaussée, en traversant les deux planchers. Ainsi, c’est la force gravitaire qui fait se déplacer les graines d’une étape de tri à une autre. Ici, pour le psyllium de qualité pharmaceutique, il n’y a pas moins de 7 étapes de tri, nettoyage et polissage. Au premier plan, les cercles de fer servaient à maintenir les sacs dans lesquels les graines achevaient leur course.

Conduites d'ensachage

Les graines traitées dans les étages au dessus descendaient au rez-de-chaussée par ces conduites, faites de simples tuyaux de gouttière bricolés et tombaient dans les sacs en toile de jute placés à leur sortie.

Caissons verticaux

Ces caissons de bois verticaux sont creux et contiennent des élévateurs à godets qui font circuler les graines du bas vers le haut de la machine.  

Caissons horizontaux

Graines de psyllium

Appelées puces en raison de leur petite taille, elles étaient commercialisées pour leurs vertus médicinales soignant les problèmes digestifs.

Germinateur

Le germinateur Jacobsen se compose d'un bac en zinc rempli d'eau chauffée électriquement. Il est recouvert d'une plaque perforée où est posée une rondelle de feutre reliée à un mèche qui plonge dans l'eau. Une rondelle de buvard supportant les graines est appliquée sur le feutre puis recouverte d'une cloche en verre.

Machine électromagnétique d'épuration de la luzerne

Quand elles sont fauchées, les graines de luzerne, destinées à l'alimentation du bétail, se retrouvent mélangées à celles de la cuscute, qui est toxique. Il faut donc les séparer dans cette machine, où elles sont mélangées avec un peu d'eau et de la poudre de fer. Les graines de cuscute présentent des aspérités sur leur surface, où se fixe la poudre de fer, tandis que celles de luzerne sont lisses et ne retiennent pas le fer. En passant à travers des cylindres séparateurs rotatifs à électro-aimants les graines de cuscute sont aimantées puis décollées par des brosses pour être ensuite ensachées d'un côté. Les graines de luzerne sont évacuées de l'autre côté vers l'ensachage. L'ensemble est actionné par un moteur électrique.

Système d'aspiration

Réglable par un régulateur d'admission d'air, il sert à retirer les corps étrangers légers (paille, poussières, enveloppes de graines).

Zone de stockage

Les sacs pleins étaient stockés à cet endroit avant leur récupération par les paysans

Laboratoire

Le laboratoire a été créé par André Roux vers 1950, passionné par les analyses et soucieux de la qualité des graines à traiter et traitées. On y trouve des machines en modèles réduits qui lui permettaient de faire des tests sur des échantillons de stocks de graines. Le laboratoire servait à la sélection des graines, aux contrôles de qualité, ainsi qu’à quelques essais de transformation génétique sur les variétés de luzerne. Les contrôles ont été d'autant plus importants lorsque la graineterie a été habilitée pour la multiplication des semences.

Registre des clients des années 60

On y trouve les noms d'agriculteurs de tout le Vaucluse, mais aussi de la Drôme, de l'Ardèche, du Gard, des Bouches-du-Rhône et des Basses-Alpes, ainsi que les variétés de plantes et les surfaces cultivées, des commentaires sur la qualité de la récolte et parfois même un petit croquis, destiné aux chauffeurs et aux courtiers de la graineterie expliquant comment se rendre à la ferme sans se perdre !

Les 5 meules

Circulaires, un axe de rotation central les traverse chacune verticalement. Elles sont constituées d'une partie fixe abrasive en granit en-dessous d'une partie tournante en caoutchouc. L'ensemble est situé à l'intérieur d'un cylindre en métal. Les graines sont introduites par le centre de la meule pour atteindre l'espace (réglable par un volant) entre le caoutchouc et le granit. Une action de frottement s'effectue par la combinaison de la rotation et de la pression du disque de caoutchouc sur le disque de granit.

Berlingotière

Une machine qui n'a rien à voir avec la graineterie :-) mais qui participe également à l'histoire de Carpentras : c'est une machine servant à découper les rubans de sucre en berlingots, qui appartenait à l'usine de confiserie Rolls et que la CoVe a sauvée de la destruction et remisée ici.

Le vibraklon

Nettoyeur-aspirateur composé de trois tamis en vibration sur lesquels passent successivement les graines. Les corps étrangers volumineux (pierre, terre, etc.) sont écartés. En progressant dans la machine, les graines sont tamisées et aspirées simultanément. Les poussières sont séparées des corps étrangers plus gros (graines cassées, paille, etc.) par un phénomène de tourbillon. Chaque type de rebut est récupéré dans des collecteurs ou évacué par une conduite vers l'ensachage. Les graines (produit semi-fini), issues de cette première étape de nettoyage préparatoire, sont acheminées vers les deux cylindres trieurs voisins. Le nettoyeur-aspirateur a été installé en 1950 pour améliorer la ligne de nettoyage du psyllium.

Tarare en métal

Modèle plus récent que ceux en bois. Il se trouvait dans l’une des deux autres usines et à été ramené ici dans les années 80.

Atelier 

Cette pièce est l'atelier de réparation et d'entretien des machines.

Séparateur à disques Carter

Machine en métal qui se trouvait initialement dans l'usine de l'avenue Pierre Semard. C'est l'étape finale de tri des graines rondes (lentilles, vesce, moutarde, …) avant leur ensachage.

Pesée

Une fois déchargées, les sacs de graines étaient pesés ici et leur traitement à façon était facturé au poids au paysan.

Trémie d'alimentation du classeur de graines dit « l'escargot » ou « le toboggan » situé à l'étage en dessous.

[Voir « l'escargot », niveau 2](https://my.matterport.com/show/?play=1&sr=-3.12,.54&ss=175&m=ZZJdKc2xJL1) [Voir l'arrivée, niveau 1](https://my.matterport.com/show/?play=1&sr=3.01,-.32&ss=386&m=ZZJdKc2xJL1)

Le cribleur-diviseur

Le cribleur-diviseur est composé d'un tambour en zinc, légèrement incliné, perforé. Sur sa longueur, trois parties ont des perforations différentes : mailles longues ou rondes. Ce cylindre est à l'intérieur d'un caisson de bois. fixé à un support en bois.  En sortie du convoyeur, une conduite introduit les graines à l'intérieur du cribleur-diviseur. L'inclinaison et les deux types de perforation permettent l'épuration successive du sainfoin. Les corps étrangers et autres graines sont éliminés au travers des perforations. Une vis sans fin évacue les rebuts. Le sainfoin ainsi nettoyé est orienté dans une conduite pour alimenter les deux trieurs alvéolaires qui suivent.

Bureaux

Les deux seules femmes à travailler à la graineterie étaient les employées de bureau, chargées de la comptabilité et de la paie.

Tamis miniatures

Ils étaient utilisés pour les essais de gabarits de criblage

Lignes de décuscuteurs

Cet endroit regroupe deux lignes identiques de décuscuteurs à deux caissons datant des années 1920. Un agitateur permet une distribution des graines sans problème de bourrage. Puis les graines passent successivement dans deux caissons appelés tabliers, qui comportent deux tamis superposés, par lesquels la séparation du mélange s'effectue : les graines, tout en traversant ou pas le ou les tamis, progressent vers la sortie dans les tuyaux métalliques du rez-de-chaussée, où elles sont ensachées.  Le décuscuteur a été conçu à l'origine pour extraire les graines de cuscute, mélangées aux graines de luzerne et de trèfle (la cuscute est une plante parasite), mais ils ont été plus largement utilisés pour extraire diverses graines. Ils sont remarquables par leur ancienneté, leur état de service, leur technique et les matériaux qui les constituent.

Ligne verticale de nettoyage du psyllium

Partie médiane de la ligne verticale de nettoyage du psyllium. Les graines arrivant d’en haut, passent successivement dans les deux cylindres de nettoyage avant de poursuivre leur course au rez-de-chaussée.

Trémie à entonnoir

Trémie en entonnoir pour déverser les graines à traiter depuis l’étage au-dessus dans les deux décuscuteurs à doubles caissons. Vous pouvez donc apercevoir quatre trémies en tout.

Salle du moulin

C'est la partie la plus ancienne du bâtiment, qui comporte la plus grande et la plus spectaculaire ligne de décortication.

Machine à trier la luzerne

Elle fut récompensée d’un prix à l’exposition universelle de Paris en 1900. Les deux cylindres trieurs en zinc fonctionnent de façon identique et en parallèle. Ils sont perforés de mailles spécifiques longues, de petites dimensions. Les graines à trier sont introduites à l'intérieur de chaque cylindre en rotation. Elles passent au travers les perforations et les rebuts sont retenus. Une vis sans fin, située entre les deux cylindres, est composée de deux parties : sa rotation permet d'un côté d'évacuer les rebuts et de l'autre les graines de psyllium triées (produit semi-fini). Ces dernières sont réparties ensuite dans trois trieurs alvéolaires.

Tabliers

Les quatre longs caissons de bois horizontaux, appelés tabliers sont animés d'un mouvement vibratoire généré par un moteur électrique.

Sacs de Jute

Certains étaient destinés aux graines triées et nettoyées rendues aux paysans et d'autres aux rebuts du nettoyage (paille, terre, poussières, cailloux, …) destinés à être évacués.

Ventaïre

Cette machine est nommée tarare en Français et ventaïre en Provençal. Chaque ferme en possédait une autrefois pour éventer le grain, notamment les céréales. C'est la machine de base, ancêtre de toutes les décortiqueuses, capable d'effectuer un tri grossier des graines de gros calibre. Pour les graines les plus fines en revanche, seules les machines de la graineterie étaient en mesure de les traiter.

Arrivée du monte-charge manuel

Doseuse pondérale

La doseuse pondérale équipée d'une trémie d'alimentation anti-voûte, de marque Unipackt 300, a été fabriquée en France, dans le département des Hauts-de-Seine à La Garenne par la société Précidose (usine). Elle a été achetée en 1966. Cet achat correspond à la volonté de diversification de l'usine vers la commercialisation de mélanges de graines en petits conditionnements pour les oiseaux, animaux domestiques, gazon et prairie. Quand cette machine était encore utilisée, une personne munie d'une machine à coudre fermait les sacs une fois remplis.

Trieur à rouleaux de velours

Utilisée pour l'extraction des graines rugueuses, elle a été fabriqué aux Etats-Unis. Le mélange de graines à surface rugueuse est déversé dans la trémie d'alimentation. Elles tombent par un entonnoir dans le trieur qui se compose de 20 rouleaux de velours en rotation. Les graines rugueuses se fixent au velours et sont projetées contre des toiles situées latéralement. Elles sont collectées dans le bas de la machine, puis conduites vers l'ensachage. Les graines non rugueuses sont aussi collectées et acheminées vers l'ensachage. Les graines rugueuses sont soit des indésirables à éliminer (pimprenelle) ou les graines recherchées (graines de poireau, de fleurs diverses).

Hygromètre dit lampe infra-rouge

L'hygromètre date du milieu du 20e siècle. Il a été fabriqué semble-t-il par G. L. Jacoby à Stockholm en Suède. Cet appareil de mesure était très important pour fixer le prix d'achat de certaines graines. Le pourcentage d'humidité déterminait la nécessité de sécher plus ou moins les graines dans le séchoir prévu à cet effet (aujourd'hui détruit) situé dans l'annexe.

Ligne 2 de nettoyage du psyllium

Conduites d'ensachage

Machine à broyer/concasser

Intérieur d'une meule

Arrivée de « l'escargot »

[Voir « l'escargot », niveau 2](https://my.matterport.com/show/?play=1&sr=-3.12,.54&ss=175&m=ZZJdKc2xJL1) [Voir le départ, niveau 3](https://my.matterport.com/show/?play=1&sr=-2.72,.28&ss=70&m=ZZJdKc2xJL1)

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Etuve / Germinateur

L'étuve ou germinateur est une armoire thermique à rayonnage en métal utilisée pour tester la germination des graines (elles sont posées entre des buvards humides).
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